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Rien que des bonnes nouvelles ! La jeune garde du cinéma français a pris des cours d’équitation. Gaspard Ulliel, Grégoire Leprince-Ringuet, et Mélanie Thierry tiennent en selle.

Quoi d’autre ? La France possède de biens beaux châteaux et nos paysages peuvent encore faire la fierté de nos paysans qui les entretiennent. Quoi d’autre encore ? Mme de La Fayette avait écrit une nouvelle en quelques pages. Mais Bertrand Tavernier, réalisateur de génie (L’horloger de Saint-Paul, La vie et rien d’autre, Un dimanche à la campagne, Capitaine Conan, Dans la brume électrique, Coup de torchon, Que la fête commence, pour ne citer que ceux-là) nous livre ici un film en costumes dont l’intrigue ne justifie pas la longueur. Un film historique où l’on n’apprend rien, c’est quand même dommage. On pourra m’objecter que ce n’est pas un film historique mais un film qui s’inspire d’une œuvre d’une femme de lettres du XVIIème siècle. Fort bien , à quand les Pensées de Pascal ?

Désolé, mais Bertrand Tavernier qui s’était  illustré dans le genre avec Que la fête commence, avait déjà moins bien réussi La fille de d’Artagnan. Il ne nous passionne pas davantage avec cette bluette en falbalas et dentelles.

On assiste toutefois à de grands numéros d’acteurs grâce à un Michel Vuillermoz grandiloquent et un Lambert Wilson au mieux de son art.

Quant au Duc de Guise, il était encore plus grand mort que vivant, mais à la fin du film, il est toujours vivant. C’est dire !

 

ML

 

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La Hune, pourquoi ?

La hune, sur les anciens navires, c’était la petite plate-forme située en haut du mât sur laquelle on envoyait un matelot pour surveiller la mer, les autres bateaux, voir s’il y avait des récifs… aujourd’hui, alors que les nuages de la crise économique ne cessent d’inquiéter, alors que celui qui a été élu capitaine du vaisseau « France » et ses courtisans semblent plus doués pour faire du vent plutôt que de s’occuper à rendre un peu moins pénibles les conditions dans lesquelles rame un équipage qui pourtant, avait souhaité atteindre de nouveaux horizons… disposer d’une modeste hune supplémentaire ne saurait faire de mal ; c’est la petite finalité d’un ènième blog comme celui-ci.

 

La hune, c’est aussi la « une » des journaux écrits, radios et télévisions, avec un « h » en plus… un h, parfois peut être aussi une hache, non pour pourfendre les journalistes qui dans leur ensemble font leur travail avec beaucoup de conscience, mais de temps en temps, pour rappeler que la médiatisation outrancière de l’information, sa mise en scène à grands coups de paillettes au mépris de règles élémentaires de ce qui doit être prioritaire, doivent être dénoncées comme la vigie le faisait du haut de la hune pour indiquer un danger.

 

Enfin, dans la pénombre dans laquelle nous tentons de nous diriger, on peut caresser le rêve que grâce à tous ceux qui apporteront leur contribution, la hune sera là de temps en temps pour donner un peu plus de clarté « hunaire » au milieu de la nuit dans laquelle voudraient nous laisser dormir des femmes et des hommes politiques de tous bords…

 

A vos plumes, mille sabords !

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